Variations en couleurs sur le précédent billet :) Weekend et début de semaine prochaine chargés, je vous dis à bientôt. Bises.












… au gré des trouvailles, au fil de l'inspiration. Ma devise : rester humble, devant l'infiniment petit, tout comme face au très grand… angle :) Merci à toi visiteur furtif ou ami de longue date…
Très belles photos.
Merci Domi.
Bonsoir Julie
La couleur donne une toute autre atmosphère à ces photos, mais elle n’enlève en rien leur beauté. Elles sont vraiment très belles. J’adore ! 🙂
Bon week-end à toi aussi, Julie, et bon début de semaine « chargé ».
Gros bisous, et une caresse à Rocky. 🙂
Merci, chère Françoise 😊🌹🌹🌹🌹🐕
Bon samedi à toi, bisous 😘😘😘
1er avril 2023, jour où la poiscaille, plus plate qu’une limande, vêtue de papier, joue la fille de l’air et se balance joyeusement, au bout d’un fil, sur des dos piégés ignorant sa présence. Analyse comparative, par l’élève Rom, de deux séries photographiques réalisées par l’artiste Julie.
Sur la série précédente, l’emploi du noir et blanc contribuait à créer une ambiance plus dramatique.
Ici, la photographe propose une version apaisée, lumineuse.
Les arbres sont plus discrets, plus pudiques, cachent davantage leurs blessures.
La silhouette, rouge vif, d’un promeneur nous guide vers un puits de lumière.
Le coton vient vers nous, le regard serein, il est proche alors qu’il fuyait notre regard, on n’apercevait que son arrière-train lointain dans la première série.
Ainsi fonctionne notre cerveau, nos premières impressions sont rarement rationnelles et font appel au système limbique, siège des émotions et de la mémoire.
Pourtant, le soleil, la lumière, la douceur ne sont pas des boucliers contre la misère du monde.
Il n’y a pas de trêve estivale, pas de pause diurne.
Les accidents, les guerres, les drames n’ont pas d’état d’âme.
Des sangliers peuvent débouler à n’importe quel moment et rompre la paix que semble instaurer un climat méditerranéen.
Sur quelques photos de cette version en couleur, des arbres me chuchotent « Regarde moi, vois mes blessures béantes, reviens plus tard, reviens ce soir, je t’en dirai plus, tu en sauras plus sur mes vengeances nocturnes, sur tes terreurs nocturnes »
Bon week-end, Julie.
Bises.
…
Juste MERCI, excellent élève Rom 😊 🙏🫠🌹 À bientôt 😘😘😘
C’est fou comme ça change tout. Les deux séries sont belles mais racontent des choses différentes. Et puis dans un mois ou deux, ce sera encore autre chose… 🙂
Dans deux mois je referai une série de photos 🙂
Merci Pastelle pour ta fidélité.
Eh bien! Quelle aventure! Au milieu de ces êtres fabuleux! J’imagine le sabbat la nuit: sonnent les chaudrons et brûlent les tisons .Danse, chants, ivresse quand SATAN épouse une drôlesse.
Les plumes blanches des poules noires s’envolent par nuées dans la clairière ensorcelée. Le sang rouge des coqs s’écoule dans les outres de peaux de bouc que tous les assistants pressent sur leurs lèvres. La queue de SATAN est dressée comme un sabre et toutes les sorcières frémissent et délirent…
😀 Quel délicieux délire… Merci, mon adorable poète, tu débordes d’imagination 😊
Doux dimanche, bisous.